Le tabagisme est un fléau redoutable qui prend de l’ampleur partout dans le monde. C’est un facteur explicatif de certaines maladies conduisant inévitablement les sujets à la mort. Aujourd’hui, force est de remarquer que ce mal persiste à laisser des dégâts d’autant plus que certains individus en sont dépendants et ont du mal à arrêter. Cependant, il existe bel et bien des traitements médicaux efficaces pour suspendre définitivement cette pratique. Ce guide en présente quelques-uns avec tous les détails utiles. Les traitements médicaux font partis des méthodes pour arrêter de fumer.
Les médecines de traitement du tabagisme
La médecine propose un bon nombre de moyens efficaces et plutôt reconnus permettant aux accros du tabac de mettre un terme à leur addiction. Les spécialistes continuent toutefois de réfléchir par rapport au perfectionnement des méthodes existantes. Ils ne manquent pas aussi de découvrir de nouvelles alternatives complémentaires. Quels sont les médicaments pour arrêter de fumer ?
La varénicline
Avec le développement des découvertes en médecine, de nombreuses substances sont créées dans le cadre de la suspension de la prise du tabac. Parmi ces variétés, certains ont particulièrement pour rôle d’agir sur le système nerveux du sujet. En effet, il existe une sorte de lien entre la dépendance au tabac d’une personne et sa conscience physique.
La varénicline constitue principalement l’un des médicaments susceptibles d’apporter une aide efficace au fumeur. Le principe est d’amener ce dernier à perdre totalement l’envie de consommer du tabac. Ce médicament actionne les organes récepteurs de nicotine qui se localisent dans le cerveau. Ainsi, elle fait baisser l’envie au moment où le fumeur choisit de fumer. La varénicline se présente sous l’aspect de comprimés et a été pour la première fois vendue sur le marché du Canada en 2007.
Il faut noter que les sujets doivent notifier à leur médecin s’ils voient développer chez eux des signes d’agitation, des envies suicidaires et autres comportements inhabituels. En réalité, il s’agit d’une dernière alternative qui est recommandée si éventuellement, toutes les autres méthodes se sont avérées sans effet. Il faut souligner que la véranicline est prise en charge par votre assurance maladie.
Le Bupropion
Ce médicament agit pratiquement de la même manière que le premier. La différence ici est que le bupropion n’est pas remboursable par l’assurance maladie. Cependant, le patient ne peut prendre ces substances que sur prescription ordonnancée par les médecins. Ainsi, la femme enceinte et les jeunes fumeurs âgés de moins de 18 ans ne sont pas concernés par ce traitement. Ces mesures sont également valables pour la varénicline.
La médecine traditionnelle contre le tabagisme
La médecine traditionnelle joue également un rôle incontestable dans les mesures de réduction de la dépendance tabagique. Elle considère que ce besoin continuel de prendre du tabac est directement relié à l’esprit du consommateur. En effet, lorsque ce dernier est marqué négativement, cela le pousse à avoir recours à des substances toxiques. Le tabagisme génère en effet de la chaleur qui envahit l’esprit.
La médecine traditionnelle est une approche holistique qui apparaît comme une solution remarquable pour satisfaire les difficultés d’indépendance au tabac. Elle se scinde en suivant plusieurs sous-méthodes comme la pharmacopée et l’acupuncture. Il s’agit de moyens purement naturels comme les plantes médicinales disposant des propriétés propres à la médecine traditionnelle. Ce sont des possibilités dont l’utilisation remonte bien à des millénaires. Aujourd’hui, elles continuent d’exister et contribuent à rendre un individu indépendant du tabagisme. Par ailleurs, l’acupuncture cible plutôt le corps du fumeur, en stimulant particulièrement des points sensibles.
Homéopathie et traitements naturels
L’homéopathie est une technique thérapeutique qui consiste à soigner les malades au moyen de remèdes administrés à doses infinitésimales. Ces remèdes ont un effet contraire lorsqu’elles sont administrées à doses élevées. Les plantes médicinales, l’homéopathie et les traitements naturels constituent de bons alliés pour stopper la cigarette pour de bon. Elles peuvent servir par infusion à nettoyer les poumons de toutes substances toxiques.
De nombreux types de tisanes peuvent être préparés, tous dans le même but, mais avec les durées d’actions variées. Certaines agissent pour apaiser le système nerveux et d’autres sont spécifiques au traitement de l’anxiété et à la baisse du taux de GABA. Il existe aussi des plantes qui sont efficaces contre les angoisses et certaines émotions susceptibles de conduire une personne à recourir au tabagisme.
Médecine chinoise avec acupuncture
Dans ce cas, il est question de la médecine traditionnelle pratiquée par les Chinois, toujours dans le but de résoudre le sevrage tabagique. Cette possibilité fait partie des anciennes méthodes de santé mondiale d’après l’Organisation mondiale de la santé. Elle renferme des techniques diversifiées de soin, dont principalement l’acupuncture.
L’acupuncture est un procédé thérapeutique qui consiste à rassembler l’énergie du quotient, au moyen des aiguilles. Ces dernières sont appliquées sur les points précis de la surface corporelle appelés points d’acupuncture. De cette manière, elle agit de façon à faciliter l’équilibre du corps. Nombreuses sont les personnes qui font recours aux séances d’acupuncture afin de bannir définitivement l’acupuncture.
C’est un pan de la médecine chinoise qui a été approuvé par bon nombre d’études et qui s’avère efficace pour aider les fumeurs à diminuer la prise de tabac. Elle agit de manière apaisante et réduit les manifestations du sevrage comme l’insomnie, l’anxiété et l’aptitude à vite se mettre en colère.
Les substituts nicotiniques
Les éléments substitutifs nicotiniques se rangent également parmi les moyens de traitement contre le tabagisme. Le principe est d’employer de la nicotine de telle sorte que l’individu ne ressente plus l’envie de fumer du tabac. De façon progressive, le besoin du fumeur diminue et finit par ne plus apparaître. En moyenne, cette méthode peut couvrir généralement une durée allant de 3 à 6 mois. Les substituts nicotiniques sont produits suivant de différentes doses en nicotine. Seuls les spécialistes peuvent se prononcer sur la concentration adéquate en fonction du niveau de dépendance. Il faut souligner qu’ils sont remboursés par la compagnie d’assurances maladie.
Par ailleurs, les cigarettes électroniques sont aussi très utiles dans le processus du sevrage tabagique. Proposées par de nombreuses marques aujourd’hui, elles apportent aux fumeurs une dose contrôlée de nicotine. Il est même possible de choisir la concentration de nicotine en fonction du profil du fumeur. Bien que ses effets négatifs sur le long terme ne soient pas encore mis en exergue, de nombreuses études prouvent que cette cigarette est moins néfaste que la cigarette classique. En plus, elle permet au fumeur de conserver certaines habitudes liées à la consommation de la cigarette traditionnelle. Ainsi, le sevrage tabagique est beaucoup plus doux et les effets secondaires qui y sont liés plus rares.
Est-ce que le contrôle de soi peut m’aider dans mon sevrage tabagique ?
Le contrôle de soi peut d’une certaine manière aider à faire face à votre sevrage tabagique. En effet, il s’agit d’un procédé selon lequel vous êtes amené à développer des aptitudes allant dans ce cadre. En d’autres termes, le plus grand effort viendra de vous. Pour cela, vous devez veiller à vous écarter de toutes tentatives susceptibles de vous exciter à aller vers le tabac. Dans cette optique, vous devez impérativement vous écarter des groupes et des personnes qui s’adonnent au tabagisme. De même, vous devez à tout prix retravailler votre conscience et vous fixer un objectif que vous devez vous rappeler chaque fois.
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